Publié le 22 Octobre 2015

Viol : un ado récidiviste condamné à 30 ans de prison pour viol collectif.

Il avait 17 ans à l'époque des faits. Le 30 mars 2014, vers une heure du matin, accompagné de deux frères plus jeunes et d'un ami de 13 ans, le jeune homme avait violé, frappé et humilié une jeune femme de 18 ans qui sortait de la gare RER d'Evry-Courcouronnes.

La victime avait subi cette nuit-là des sévices d'une rare violence. Sous la menace, l'accusé l'avait entraîné dans un parc public. Fellations forcées, sodomies, coups de bâtons : 

Les violences avaient duré près de deux heures. Les quatre ados avaient ensuite attaché et bâillonné leur victime, lui urinant dessus et lui crachant au visage. Ils l'avaient enfin abandonné en la menaçant de mort si elle dénonçait les faits.

Il comparaissait pour "viols accompagnés ou suivis d'actes de torture ou de barbarie et ce en état de récidive légale". Il a été condamnée à 30 ans de prison.

Il avait déjà été condamné par le tribunal pour enfants d'Evry à quatre ans de prison, dont deux avec sursis, pour avoir violé un garçon de 13 ans avec un embout d'extincteur. Des faits commis lorsqu'il avait 15 ans.

Les trois autres ont déjà été condamné en avril dernier par un tribunal pour enfants à des peines allant de cinq à sept ans d'emprisonnement...

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Rédigé par PIERRE HAMMADI

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Publié le 22 Octobre 2015

Israël : "Hitler ne voulait pas exterminer les juifs, seulement les expulser, a déclaré le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, mardi 20 octobre.

Devant l'assemblée du 37e Congrès sioniste, mardi à Jérusalem, Netanyahu a suscité la controverse en faisant porter une part de responsabilité de la Shoah à un dignitaire religieux musulman, Haj Amin al-Husseini.

A l'origine, "Hitler ne voulait pas exterminer les juifs, seulement les expulser", a-t-il déclaré. C'est le mufti de Jérusalem qui a soufflé à Hitler l'idée d'exterminer les juifs plutôt que de les chasser d'Allemagne, assure Benjamin Netanyahu.

"Si vous les expulser, ils viendront tous ici en Palestine." Alors que devrais-je faire d'eux?" demanda Hitler. Il répondit : "Brûlez-les", raconte le Premier ministre israélien, évoquant une rencontre entre les deux hommes à Berlin.

Ces propos ont provoqué la polémique et plusieurs intellectuels ont accusé Benjamin Netanyahu de Dédouaner Hitler tout en rejetant la faute côté palestinien.

Le chef de l'opposition travailliste Isaac Herzog a qualifié les mots de Benjamin Netanyahu de "déformation historique dangereuse ... minimisant la Shoah, les nazis, et la part qu'Adolf Hitler a prise dans la terrible tragédie qu'a subie notre peuple pendant la Shoah". Il lui a demandé de corriger "immédiatement" ses paroles.

L'historienne en chef du mémorial Yad Vashem pour la mémoire de la Shoah, à Jérusalem, a de son côté estimé que les propos du Premier ministre n'étaient pas "historiquement exacts". "Ce n'est pas le mufti, même s'il avait des positions antijuives très extrèmes, qui a donné à Hitler l'idée d'exterminer les juifs", a déclaré Dina Porat.

"Cette idée est bien antérieure à leur rencontre de novembre 1941. Dans un discours au Reichstag le 30 janvier 1939, Hitler évoque déjà une extermination de la race juive", a-t-elle dit...

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Publié le 21 Octobre 2015

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Publié le 21 Octobre 2015

Aide juridictionnelle : Christiane Taubira recule face à la colère des avocats.

En grève Lundi et mardi, les avocats refusaient que leurs caisses soient prélevées pour financer l'aide juridictionnelle.

Sous la pression des avocats, tout comme en 2013, Christiane Taubira a finalement renoncé à prélever leurs caisses pour financer l'aide juridictionnelle qui permet aux plus démunis d'accéder aux services d'un avocat.

L'Assemblée nationale avait voté le volet du projet de budget de l'aide juridictionnelle qui prévoyait un prélèvement de cinq millions d'euros en 2016 et dix millions d'euros en 2017 sur les intérêts de fonds placés dans les caisses (Carpa) gérées par les avocats.

Un amendement sera déposé au Sénat pour annuler cette disposition, a déclaré la ministre de la justice à l'issue d'une réunion avec les représentants des avocats.

Les prélèvements sont donc annulés.

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Publié le 21 Octobre 2015

Violences à Moirans : la mère du jeune homme tué en Isère dans la nuit de vendredi à samedi veut "annuler les obsèques", après le refus du juge de laisser sortir le frère du défunt.

La justice a rejeté mercredi 21 octobre la demande de sortie sous escorte de ce dernier, qui voulait assister à l'enterrement à Moirans (Isère).

Le calme est revenu mardi soir à Moirans, où les forces de l'ordre et la SNCF ont passé une partie de la nuit à évacuer les voitures incendiées. Une trentaines d'émeutiers étaient toujours recherchés mardi soir par la police.

Le détenu peut encore faire appel de la décision du juge de refuser sa demande d'autorisation de sortie sous escorte. La cour d'appel de Chambéry a confirmé, plus tôt dans la matinée, le rejet de l'autorisation de sortie sans escorte du prisonnier. Ce dernier a été transféré à la maison d'arrêt de Villefranche-sur-Saône, après les violences qui ont éclaté mardi soir dans la ville.

La mère a annulé les obsèques de son fils, mort dans un accident de la route en rentrant d'un cambriolage à Saint-Joseph-de-Rivière et qui devait être enterré mercredi à 14 heures. "Je vais faire venir le cercueil de mon fils ici. Et il ne bougera pas tant que mon autre fils ne pourra pas venir", a-t-elle déclarée.

La loi prévoit un délai légal de six jours ouvrables au delà duquel un corps doit être soit incinéré, soit enterré. Les funérailles peuvent en théorie avoir lieu jusqu'à vendredi soir.

Il n'y aura "aucune complaisance de l'Etat", a rappelé Bernard Cazeneuve. Le ministre indique que "des éléments ont été récupérés par les services de police pour enclencher la judiciarisation" des émeutiers de Moirans...

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Publié le 21 Octobre 2015

Marseille : 5 ans de prison requis contre les auteurs d'une agression homophobe sur la Canebière.

 les agresseurs d'un couple de jeunes hommes, roués de coups début septembre sur la Canebière, après avoir essuyé des insultes homophobes, ont été condamnés mardi 20 octobre à trois ans et demi de prison ferme.

En plus de cette peine de prison ferme, le tribunal a prononcé une peine avec sursis de 18 mois contre les deux agresseurs, âgés de 18 et 19 ans.

Paul et Tony, deux hommes d'une vingtaine d'années, sortaient d'une boîte de nuit du centre de Marseille et s'enlaçaient, un dimanche vers 7h00 du matin, lorsqu'ils ont été pris à partie par un groupe de cinq agresseurs. Seuls d'eux d'entre eux ont pu être identifiés et comparaissaient mardi 20 octobre.

Leurs agresseurs leur ont jeté détritus et cannettes dessus, avant de les insulter, menaçant notamment de leur "casser la bouche" et de les tuer. Les deux victimes ont été roués de coups, les agresseurs s'acharnant sur Paul, encore frappé à coups de pied à la tête alors qu'il se trouvait au sol.

Il en réchappera avec un hématome au cerveau, et des blessures multiples. Le jeune homme, un fonctionnaire de police qui a hésité à porter plainte car il ne voulait pas que ses collègues apprennent son homosexualité, s'est présenté mardi à l'audience le bras encore en écharpe et marchant avec une béquille.

"Ces violences touches à la dignité humaine, au droit d'être ce que l'on est", a souligné la procureur. "Ce sont des violences gratuites, juste pour le plaisir de faire mal", a-t-elle ajoutée.

Les avocats des deux prévenus ont plaidé la "bêtise" et appelé à ne pas faire du dossier "un exemple qui le dépasserait de loin".

"C'est d'une bêtise extraordinaire mais c'est tout", a affirmé pour la défense Maître Bruce Blanc...

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Publié le 20 Octobre 2015

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Publié le 20 Octobre 2015

Demande d'asile : la Cour des comptes estime que 96% des déboutés restent en France.


Dans un rapport publié mardi 20 octobre, la Cour des comptes dénonce une politique de demande d'asile mal "maîtrisée" et estime que plus de 96% des personnes déboutées resteraient en France". La Cour s'appuie sur des chiffres de la Direction générale des étrangers en France (DGEF), faisant état de 1.432 éloignements sur 40.206 personnes déboutées en 2014.

Le premier ministre, Manuel Valls, a "regretté" que la Cour ait négligé dans ce calcul les cas des demandeurs d'asile obtenant dans le respect du droit un titre de séjour, ainsi que les départs volontaires. Le ministère de l'intérieur fait en effet valoir que 6.500 titres sont délivrés chaque année au titre des étrangers malades et 9.000 au titre de parents d'enfants français, dont une grande partie après échec d'une demande d'asile.

La Cour note "des dépenses en forte croissance à mieux maîtriser". Celles-ci se sont élevées à 690 millions d'euros en 2013, auxquels il faut ajouter les dépenses de santé et les frais de scolarisation, "qu'il est difficile d'évaluer avec précision".

Les dépenses ont ainsi augmenté de 52% entre 2009 et 2014, soit plus que la progression de 36% des demandes d'asile sur la même période...

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Publié le 20 Octobre 2015

Lucas : l'enfant de 7 ans agressé jeudi soir à Joeuf, près de Metz, est mort des suites de ses blessures lundi 19 octobre.

Il aura lutté cinq jours contre la mort, en vain. Lucas, le petit garçon poignardé alors qu'il rentrait de l'école à Joeuf (Meurthe-et-Moselle), a succombé à ses blessures.

Dans une ruelle, à quelques centaines de mètres du domicile de l'enfant, l'agresseur lui aurait porté sept coups de couteau au thorax et à l'abdomen, avant qu'un policier, qui n'était pas en service, intervienne. Héliporté à Nancy et opéré, Lucas n'a pas survécu à ses blessures, il est mort lundi 19 octobre à 18h40 au CHU de Bradois.

Selon un témoin direct, un homme de 90 ans, l'agresseur l'a frappé avec "un grand couteau, un couteau de boucher". L'homme "à genoux, donnait des coups de couteau, s'acharnait avec le couteau", raconte ce voisin. "Le petit, il criait, criait tant qu'il pouvait !".

L'auteur des coups s'était rendu à la police après avoir pris la fuite. Il n'a pas donné d'explication à son geste et est resté muré dans son silence. L'expert judiciaire avait conclu à des troubles psychiatriques qui ont altéré son discernement sans l'abolir.

Il est donc responsable pénalement des faits et encourt la détention à perpétuité. Il a été mis en examen pour tentative d'homicide sur un mineur de 15 ans, une circonstance aggravante. Le téléphone portable d'une voisine, qui avait filmé une partie de la scène, a par ailleurs été saisi, selon le procureur de Brey.

Âgé de 30 ans, sans emploi, il a  déjà été condamné en 2013 pour des faits de violence sur fond d'alcool...

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Publié le 19 Octobre 2015

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